42 km 195

couverture flammarionLe sport a toujours été une composante de ma vie. Trente ans de basket, dont une quinzaine en Championnat de France, des activités comme le tennis, le badminton, le squash, la natation, et une vingtaine de marathons courus dans le monde. Aussi, quand Flammarion m’a sollicité pour écrire un récit sur cette épreuve mythique, j’ai tout de suite accepté. Le titre était clair, et le cahier des charges difficile : un chapitre par kilomètre. Comme pour une course, je m’y suis préparé mentalement, et je me suis lancé à l’assaut de ces 42 km 195 inédits.

La seule véritable intrigue romanesque étant de savoir si Philippe, le personnage principal, ira au bout du parcours (bon, il a un petit souci de santé…), j’ai écrit un voyage à la fois historique, géographique, physique, psychique, philosophique, médical, littéraire, et humain.

Les marathoniens retrouveront les sensations, les émotions, et les douleurs, kilomètre après kilomètre, qu’ils connaissent bien. Les non-coureurs découvriront un monde d’amitié, d’effort, de dépassement de soi, et l’histoire fabuleuse de cette course depuis la bataille en Grèce jusqu’à 42 marathons actuels parmi les plus réputés sur la planète. C’est aussi une formidable visite d’un Paris merveilleux, vu à travers un regard piétonnier.

En forme ? Prêt ? Alors on chausse ses baskets et c’est parti pour 42 km 195 de plaisir !

Éditions Flammarion (mars 2015)

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REVUE DE PRESSE

35 commentaires pour 42 km 195

  1. morenas dit :

    bonjour ,
    je viens de vous entendre sur France inter . j’ai moi aussi quelques années d’addiction à la course à pied derrière moi et pas mal de souvenirs pédestres , des bons et des moins bons … je partage quelques unes des choses que je vous ai entendu dire mais par pitié ne dites pas ou plutôt ne laissez pas croire que courir changera la vie des gens en mieux … courir prend énormément de temps , au détriment d’un tas d’autres qui ne sont certainement pas secondaires … et la solidarité du monde des marathoniens ne dure guère plus que 42,195 km … certes écrire un livre sur quelque chose d’aussi simple et basique que courir nécessite de développer le fait de mettre un
    pied devant l’autre et recommencer mais entendre le couplet sur l’entreprise et le marathon m’a fait un peu grimacer … l’entreprise (capitaliste) porterait aux nues le lancer de nain si cela lui profitait … alors oui courir fait du bien en temps qu’activité physique ( le jardinage aussi ) oui cela permet l’introspection ( la méditation aussi) mais il y a autant de choses plus sombres dans la
    course à pied que dans toute
    autres activité humaine …. il serait surprenant que seuls les gens biens soient attirés par la course à pied … voilà , bien à vous et amitiés marathoniennes

    • bernardthomasson dit :

      Bonjour,
      Bien sûr que le marathon laisse aussi des souvenirs plus difficiles, mais je trouve que l’aboutissement d’un défi personnel balaie souvent les souffrances et le côté sombre que vous évoquez.
      Quant aux capitalistes, je suis d’accord avec vous, ils profitent largement de la mode de la course. Et ce n’est pas un hasard si les premiers marathons sont nés dans les grandes capitales financières ou économiques.
      Bonne course à vous.
      Bernard

  2. MURO dit :

    Monsieur Thomasson.
    Je me permets de vous écrire simplement pour vous dire merci.
    Merci, de m’avoir permis voyager avec votre livre pendant que j’étais cloué à mon lit d’hôpital, suite à l’opération d’une double hernie discal.
    Merci pour les larmes que sont montes à mes yeux avec la lecture de votre livre à la fin du chapitre Km 42.
    Moi, que tiens un seul et unique marathon à son active, celui de Paris (3h12 à l’arrivé et je suis fier), vous avez mis les mots exacts à mes sensations.
    Vous me avez donne un peu plus de force et d’espoir, pour que un jour (pas très lointain) avaler à nouveau les kilomètres et…pourquoi pas ? Avoir l’honneur de vous serrer la main.
    Cordialement.
    Jorge MURO

    • bernardthomasson dit :

      Bonjour Jorge.
      Votre témoignage me touche beaucoup. Parce que l’un de mes héros a connu votre souffrance. Bravo en tous cas pour vos 3h12, c’est top pour un premier, vous devez être par ailleurs un sportif éclairé ! Je suis sûr que vous recourrez bientôt. 🙂 On se croisera alors peut-être sur un chemin boisé ou sur une ligne de départ ? Amitiés.
      Bernard

  3. Pascal Coindeau dit :

    Monsieur Thomasson.
    Merci pour ces 42 chapitres. et la petite récupération. J’ai accompagné Philippe au fil des kilomètres… Avec lui, j’ai couru, vibré, voyagé, souffert, pour terminer tout en émotion.
    Je me suis complétement retrouvé dans certains passages de votre livre, étant un adepte de la « Coulée verte » que j’emprunte plusieurs fois par semaine pour rejoindre mon club, Porte de Charenton. A la fin de ce roman, j’ai presque été déçu que ce ne soit pas une histoire vraie.
    Très cordialement.
    Pascal (marathonien, centbornard et circadien ;-))

    • bernardthomasson dit :

      Bonjour Pascal
      Heureux de voir que vous avez vécu ce voyage de l’intérieur ! Même si tout n’était pas tout à fait vrai… 🙂 Mais c’est le propre de la littérature. Amitiés.
      Bernard

  4. Quetel Jean François dit :

    Bonjour Mr Thomasson , Un vrai bonheur de vous lire , je prends mon temps pour ne pas le finir . Tout jeune Finisher il y a 1 mois jour pour jour sur Paris à 43 ans je reviens de loin mais pas autant que vous . J en suis juste au passage de votre opération . Un énorme bravo pour votre force. Moi juste perdu 25 kg en 6 mois et ça fera 2 ans en Octobre ma reprise de compétition . Le début pour perdre du poids et reprendre une activité physique et maintenant
    Addict à la course à pied . Je pense pas faire comme Maverick , j aurais tellement aimé en étant plus jeune et sans femme et sans enfant ( ma femme va adorée) mais programme mon 2ème en Novembre sur Florence et Rome en 2016. J aurais dû vous lire oui et non avant mon 1er marathon ! 😉 . Bonne continuation en espérant vous croiser sur Vincennes . Sportivement. Jean François

    • bernardthomasson dit :

      Bonjour Jean-François.
      Merci pour votre message. Mais je vous rappelle que c’est une fiction, je ne suis donc pas Philippe, le héros du livre, ni Maverick, son mentor, même si j’ai mis dans les deux forcément un peu de moi-même !
      Florence est une course superbe, c’est peut-être dommage que le départ ne soit plus donnée sur la colline, de l’autre côté de la rivière…
      Bonne continuation. Amitiés.
      Bernard

  5. B.St Pee dit :

    Bonjour,
    Merci pour votre ouvrage qui vient compléter les beaux ouvrages sur la course à pied. Je suis toutefois un peu déçu pour Benedict qui , aimant l’eau, aurait dû s’aligner sur le marathon du Mont Saint Michel :).
    Merci pour toutes ces anecdotes.
    Cette année, j’ai été ému pour les deux messages du sponsor principal de la course dans les derniers hectomètres. « Vous allez réaliser votre rêve » et en abordant la place Dauphine le « Vous êtes un héros », qui donne des ailes et des larmes. Ces sentiments , ainsi que bien d’autres , sont très bien traduits dans votre ouvrage.
    Même si la démocratisation du marathon rend moins surhumain les « finishers », il n’y a pas de réussite sans souffrance.
    Sinon, je suis preneur de vos programmes d’entrainement parce que moi , le pont Mirabeau, je ne l’ai pas vu…ni la tour Eiffel à mon premier Paris !
    Merci encore, au plaisir de vous lire.

    • bernardthomasson dit :

      Bonjour.
      Merci de votre message, et j’ajouterai que toute souffrance apporte aussi son lot de plaisir, en l’occurrence.
      Quant à Benedict, il aurait pu en effet courir au Mont-Michel qui est, parait-il, magnifique. Moi-même je ne l’ai pas couru, et je le regrette…
      Côté programme, je vous renvoie vers un coach professionnel, ou un club. J’ai toujours fonctionné, perso, sur des choses un peu empiriques et mes sensations !
      Amitiés.
      Bernard

  6. Juléjim dit :

    Bonjour Bernard. Je viens de terminer la lecture de « 42km195″… et je m’apprête à me rendre chez mon dentiste ! Une vieille connaissance de plus de 30 ans, avec qui je n’ai jamais eu l’occasion de courir, mais dont je connais la passion pour la course à pied. Ses projets de marathon ont tourné court le jour où il a découvert qu’il était atteint de sclérose en plaques. Heureusement, le degré de gravité de la maladie reste limité, ce qui lui permet de poursuivre sans problème majeur son activité professionnelle. Jusqu’à nouvel ordre…
    Il y a une quinzaine de jours j’ai complètement zappé un rv ! C’est pourquoi aujourd’hui, pour m’excuser, je vais lui offrir un exemplaire de votre roman !

    Double ration de remerciements pour vous donc : pour le bonheur de lecture d’abord, pour les milliers de mots… d’excuse ensuite !

    😉

    • bernardthomasson dit :

      Bonjour Jules, ou Jim…
      Saluez votre dentiste de ma part. Et si la maladie ne lui autorise pas la course, il peut se rabattre sur tant d’autres choses, dont la lecture !
      Merci pour votre message.
      Amitiés. Bernard

  7. Jean dit :

    Bonjour Mr Thomasson,

    Suite à mon premier marathon, j’ai reçu votre livre. Je l’ai lu presque d’une traite, non pour « l’intrigue » mais pour le récit des sensations du héros.
    Forcement je comparais sans cesse avec mes propres 42,195 de dimanche dernier.
    Que de différences. Certe, je n’ai pas pris le départ sur les Champs Elysées mais dans les champs tout court, ceux du Marathon du Vignoble d’Alsace.
    Pas de course à la technologie, pas de bousculades, une réelle solidarité et pas que dans les regards échangés, même pas une ligne bleue… un autre monde pour une même distance.

    Outre les quelques anecdotes que je ne connaissais pas, j’ai l’impression grâce à ces 42 chapitres, d’avoir lu tous les livres traitant de la course à pied. Merci pour l’économie de temps.
    J’y ai surtout appris qu’il est fort peu probable que l’on me trouve au départ de l’une de ces courses aux dizaines de milliers de participants.

    Courir ne m’a pas sauvé, c’est juste le dernier effort où la méritocratie règne. Ce bastion ne pourra jamais être pris d’assaut par les militants des quotas en tout genre. Chronos n’a pas d’yeux, pas d’oreille. Il compte, sans jugement, sans partie pris.

    Je vous souhaite bien des bonheurs basket aux pieds.
    N’oubliez pas l’anagramme écrit sur ceux de Phil.

    Cordialement,
    Jean

    • bernardthomasson dit :

      Bonjour Jean.
      Merci pour votre témoignage.
      Je vous souhaite aussi de belles courses, à votre rythme, et vous avez raison, à moins de dix mille c’est parfois mieux !
      Amitiés.
      Bernard

  8. PILLE Bruno dit :

    Monsieur,

    J’ai acheté et lu votre livre “42 km 195”.

    J’ai 53 ans, près de 30 ans de course à pied, 182 courses, 18 marathons dont 3 à Paris.

    Tout d’abord, l’aspect « aventure moderne » du marathon se marie mal, selon moi, avec une description quasi exhaustive, clinique, des situations ou des problématiques du marathon. J’ai eu l’impression de lire une revue spécialisée de type « Jogging International », un catalogue d’agence de voyages spécialisée dans les courses sur routes ou une revue des différents ouvrages autour de la course à pied (le livre de Jean Echenoz sur Zatopek, celui de Jacques Gamblin, de Murakami ou du philosophe Guillaume Leblanc, etc.)….

    Ensuite, votre livre est truffé de passages d’une niaiserie, d’une lourdeur…Par exemple :

    – Page 181, km 29, quand le coureur ne retrouve pas sa femme et Emy. Vous introduisez un suspense insoutenable …. : comment peut-on croire qu’un coureur, greffé du cœur, puisse paniquer à ce point parce qu’il ne retrouve pas ses accompagnateurs ? Je crois qu’il en a vu d’autres, non ? Il découvre que Paris est embouteillé et son métro encombré ? Que faire ? Il continue pardi!
    – Page 150, km 21, la blague « attention ! V’là les flics » ! Si cette remarque (digne d’un recueil des blagues à Toto) provoque des rires, doit-elle figurer dans un « roman » ?
    – Page 177, km 27, le coureur n’appelle plus sa femme « mon cœur » depuis qu’il a été opéré (et greffé du cœur) ! Alors là, j’ai éclaté de rire ! Comment est-ce possible d’écrire des niaiseries pareilles ? Remarquez, moi, il m’est arrivé la même chose depuis que ma femme a revu les films de Louis de Funès sur la TNT, elle ne veut plus que je l’appelle « ma biche » ! Non, franchement, j’ai trouvé cela d’un ridicule !
    – Je continue ? Page 237, km 36 : « vous vous sentez fortifié, non pas parce que vous empruntez l’allée des fortifications »….Là j’ai vraiment le sentiment que vous prenez les joggeurs-lecteurs ou vos lecteurs tout court pour des billes…
    – Des trivialités, km 34, page 225 : « une personne examinée le matin par un médecin peut très bien succomber l’après-midi à une crise cardiaque la nuit suivante dans son lit ». Non ? C’est vrai ? ça alors !!!
    – Des réflexions qui ne mangent pas de pain, page 283, au sujet des attentats de Boston : « comment un esprit peut-il concevoir de transformer une grand-messe du corps de l’amitié en un lieu de massacre » ? Ah, là, là, là ! il n’y a plus de sanctuaire, on est tranquille nulle part !
    – Km 38, le passage sur les pissotières, peut-être la perle de votre « roman » : on élève le niveau, ça c’est sûr ! Et surtout, M. Thomasson, le joggeur, le marathonien, jamais un regard de travers sur le séant de ces dames (page 249). Ben voyons ! Vous auriez dû appeler votre livre « Je cours au pays des Bisounours ».
    – Et puis, attention, ça finit bien : moins de 4h30 pour le greffé et Benedict Maverick va retrouver l’usage de ses jambes ! Elle n’est pas belle la vie ? Je vous le dis, c‘est « Je cours au pays des Bisounours ».

    En rédigeant ce mail, je m’aperçois que j’ai annoté votre livre à partir de la page 151. Je commençais à me lasser de cette lecture et me suis dit que j’allais vous le dire. Je suis allé jusqu’au bout mais ce fût dur !

    Je tenais également à vous signaler que je ne comprends pas pourquoi Patricia Martin a fait la promotion de votre livre au mois d’avril.
    J’ai réécouté sa chronique sur le site web de France Inter et je me demande si, finalement, elle l’a lu ! D’ailleurs elle pensait qu’il y n’y avait que 42 marathons dans le monde…Elle n’a pas compris ? Cela m’étonnerai….Je vais lui transmettre ce mail et lui demander si elle a vraiment lu votre livre…
    Je me garderai bien d’en tirer une quelconque conclusion hâtive.

    Sans rancune M. Thomasson (18 € quand même !) et à la prochaine !

    Mais sur les ondes, pas à travers l’un de vos livres !

    Bruno PILLE.

    • bernardthomasson dit :

      Bonjour Bruno.
      Je comprends parfaitement votre mail. On ne peut pas plaire à tout le monde.
      Pardon d’être bisounours, mais je l’assume sans difficulté. Dans la vie j’ai toujours préféré regarder le verre à moitié plein qu’à moitié vide.
      Désolé, aussi, d’avoir réellement vécu, parfois, même sans être greffé du cœur, une seconde de panique, en courant un marathon, lorsque je ne trouvais pas ma compagne à des points de rendez-vous donnés ; je n’ai sans doute pas votre force de caractère. Je n’ai pas non plus la vulgarité de jeter des regards désobligeants sur le « séant de ces dames » comme vous dîtes (notez au passage, ou alors vous avez mal lu la page 149, que ce n’est pas moi qui évoque cette question mais Marion Roman, que je cite entre guillemets, dans son propre livre). Quant à la remarque sur Patricia Martin je la trouve très inélégante, et désobligeante, et pourquoi ne pas la poser non plus à Olivier Barrot, Monique Atlan, Elise Fisher, Patrick Poivre d’Arvor, Louise Pasteau, Paul Vermus, et tous ceux qui m’ont invité dans leurs émissions littéraires ou culturelles ?
      Personne ne vous a contraint à lire mon livre jusqu’au bout.
      Cordialement.
      Bernard

  9. Depoortere Dorothée dit :

    « (…) Sa lecture a nourri mes rêves , désinhibé mes craintes , propulsé mes envies ….. ».(page 284)……c’est ce que je ressens à l’arrivée de cette lecture marathon vécue à une allure plutôt lente pour en profiter pleinement…….livre découvert par hasard lors d’une rencontre imprévue avec Bernard Thomasson avec qui j’ai eu le bonheur de partager quelques foulées sur le plateau de Leucate cet été …. un livre qui laisse des traces …il n’y a pas de hasard….Merci, Bernard ! Dorothée

    • bernardthomasson dit :

      Merci Dorothée, les quelques foulées sur le plateau de Leucate furent un plaisir. Le paysage était vraiment sublime.
      Bonne continuation, et bonnes courses…
      Amitiés.
      Bernard

  10. Ping : Le roman « 42km195 » de Bernard Thomasson.

  11. Marcelo dit :

    hello Bernard
    I am Brazilian and I saw his book on the Internet, and as an amateur runner became interested in reading it, however I found that not there is still a version translated into English (for the Portuguese would be a dream! kkkk). I wonder if there is the intention of the publisher to launch his book in other languages? I cheer for that!
    thanks for listening!
    Marcelo
    São Paulo Brazil

    • bernardthomasson dit :

      Hello Marcelo.
      Unfortunately, the book is not yet translated in english.
      I hope it will come next, because the novel plays in a lot of marathons all over the world !
      Best wishes.
      Bernard

  12. Bonjour,
    j’ai beaucoup aimé votre livre dont je parle dans mon blog.

    http://stephanerunningblog.blogspot.be/2016/02/42-km-195-de-bernard-thomasson-le-roman.html

    Merci

    Stéphane

    • bernardthomasson dit :

      Bonjour Stéphane.
      Merci pour ce très bel article !
      Juste une précision, vous ne risquez pas trouver les livres de Maverick ! Ce personnage est de ma pure invention, il n’a jamais existé…
      🙂
      Bonnes courses.
      Bernard

      • Stéphane dit :

        Je l’ai bien compris Bernard mais je ne voulais pas vendre la mèche aux futurs lecteurs.
        Stéphane

  13. lemoussu lydie dit :

    Bonjour Mr Thomasson serait il possible de vous faire parvenir votre livre pour un autographe? Mon mari vient de faire son premier marathon et après 4 mois intensif de préparation où votre livre a su se glisser dans ses petits moments libres,la nostalgie que tout cela est fini prend place et me donne envie de lui offrir un cadeau qui lui rappellera quel acte incroyable il vient d’accomplir.
    Cordialement
    Mme Lemoussu

    • bernardthomasson dit :

      Bonjour Lydie,
      Je serai très heureux de pouvoir signer un livre pour votre mari. Bravo à lui ! J’espère qu’il a pris du plaisir. Vous pouvez me l’envoyer à France-Info, 116 av du président Kennedy, 75016 Paris, avec une enveloppe timbrée pour le retour.
      Cordialement.
      Bernard

      • Lemoussu Lydie dit :

        Bonjour je voudrais savoir si vous avez reçu le livre que je vous ai envoyé il y a maintenant plus de 15 jours car je n’ai toujours pas de nouvelles ni de retour. Merci de me tenir informée. Cordialement Mme Lemoussu.

  14. Georges Chasseuil dit :

    Bonjour Bernard

    Je viens de terminer votre remarquable roman, les 42 km195 parcourus en votre compagnie ont été autant de moments de bonheur et de fortes émotions et je n’ai pu retenir mes larmes lorsque Phil rencontre Benedict. Je vous remercie du plus profond de moi même de ce voyage qui m’a aussi permis de revivre mes propres sensations. Agé aujourd’hui de 66 ans et ayant 26 marathons au compteur depuis 1998 c’est en pensant à chaque chapître de votre livre que je courrai mon prochain marathon à Budapest en octobre. Encore un grand merci.

    Sportivement et cordialement.
    Georges

    • bernardthomasson dit :

      Bonjour Georges, et merci de ce chaleureux message.
      D’abord bravo pour vos 26 marathons ! Bon courage à Budapest, et surtout prenez du plaisir.
      Je suis très touché que mon modeste récit vous ai donné de belles émotions. Je les ai moi-même ressenties en l’écrivant…
      Au plaisir de nous croiser sur une course ?
      Amitiés.
      Bernard

  15. Rubino dit :

    Marathon

    Bonjour! Je suis extrêmement ému. Je vous le dit tout de suite, un grand MERCI !!! J’ai 38 ans et ai été opéré du cœur fin novembre 2013 pour un prolapsus de valve mitrale (je dispose maintenant d’un anneau mitral ; je m’en sors cependant à bon compte, si j’avais attendu plus pour l’opération, j’aurais dû me faire changer toute la valve). Après l’hôpital, en rééducation, devant mon ardeur à me remettre en forme, un soignant m’a demandé si je comptais faire un marathon plus tard, sous forme de blague. L’idée a fait son chemin… Je dois ici préciser que j’ai un bêtabloquant qui me pénalise beaucoup parce-que cela induit une fatigue conséquente et comme vous le soulignez c’est considéré comme un dopant ; qui plus est ceci impacte aussi sur les performances (à la baisse en l‘occurrence). J’ai commencé le sport avec un tour de stade à allure très lente. Depuis, je me suis inscrit au site de RunningHeroes qui récompense les coureurs. J’ai fait trois courses connectées (Pour la première au profit de l’Unicef malheureusement je doutais de pouvoir faire 10 kilomètres sans m’arrêter, je n’ai tenté de m’inscrire que le jour même de la course (le 19 Avril 2015), chose impossible ; je l’ai toutefois réalisée en 1h26min40sec. La deuxième, toujours au profit de l’Unicef, je l’ai réalisée en étant inscrit cette fois ; c’était le 29 Novembre 2015 et mon temps pour 10 kilomètres: 1h06min35sec. La troisième, la Alice Milliat Challenge pour l’accès des femmes au sport, 5 kilomètres (J’ai fini à la position 100 sur 781 participants ; je n’ai pas de chrono précis parce que j’ai prolongé pour le plaisir au-delà des 5 kilomètres obligatoires). Arrive la quatrième au profit de Médecin du Monde le 12 Juin 2016; je vais m’accrocher même si je redoute toujours autant l’effort à venir (Comme votre héros, je redoute que mon cœur me trahisse)! Entre temps, j’ai raté le semi-marathon de Grenoble-Vizille (proche géographiquement); je ne me sentais pas prêt physiquement ; je me suis juré d’y concourir l’an prochain. Avec les points obtenus avec RunningHeroes j’ai acheté votre livre en version audio sur le site de Audible. Vraiment, vous ne pouvez pas savoir à quel point je suis touché. Je n’ai pas encore fait de marathon, cela me semble même évident car trop prématuré, mais je partage une grande partie des sentiments que votre héros ressent. J’émets juste une réserve ; vous annoncez 6 minutes au kilomètre au début de l’histoire, ce temps me parait très court et donc peu crédible, surtout pour une personne qui aurait été transplantée ; déjà que j’en bave à faire des efforts surhumains alors que finalement je ne suis qu’un petit accidenté du cœur (même si je l’avoue, du moment qu’il y a opération sur le cœur, tout devient plus difficile) ; pour ma part j’ai plus tendance à faire 3 minutes par tour de stade (soit 400 mètres) lorsque je m’entraine et lorsque je cours pour une noble cause, cela donne grosso modo 7min30 au kilomètre (la différence parait moindre mais croyez-moi, ça fait toute la différence)… Enfin je ne vais pas trop chipoter, mon but n’est pas de vous malmener, bien au contraire. Pour l’anecdote, je pensais écrire un livre sur mon expérience alors je vous dois une fière chandelle, je n’aurai pas besoin de le faire. Enfin voilà, soyez assuré que votre livre restera longtemps une référence pour moi et que je continuerai de me battre pour progresser à la course à pied. Recevez mes salutations les plus distinguées.

    • bernardthomasson dit :

      Bonjour Marc.
      Merci pour votre message qui me touche également. Je suis admiratif de votre courage, et vous souhaite une belle suite dans vos efforts (et plaisirs) sportifs !
      Vous verrez, avec le temps vous parviendrez à faire 6 minutes au kilomètre, et même si vous n’y arrivez pas, aucune importance ! Le principal c’est que l’activité sportive vous accompagne dans l’amélioration de votre santé et dans votre moral.
      Amitiés.
      Bernard

  16. nancy guerin dit :

    je viens de terminer votre livre que je trouvais excellent. j’ai eu « le plaisir » de courir cette distance 8 fois…. et le plaisir de finir est toujours là. merci de votre livre

  17. Nathalie Châteauneuf dit :

    Merci pour ces km de lecture.
    Vous m’avez donné la poussée qui me manquait pour m’inscrire à mon premier marathon à la fin de l’été prochain (à Québec). Vous êtes très inspirant. Ça fait 2 mois que j’ai terminé votre livre et il me touche encore! J’ai pleurer à la fin.

    • bernardthomasson dit :

      Merci Nathalie pour votre message. Bon courage pour le premier, et surtout beaucoup de plaisir. Profitez-en, c’est un moment inoubliable, mais il faut être bien préparé.
      Amitiés.
      Bernard

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